Sans nouvelle d'un avant-poste scientifique depuis quelques temps, le commandant Taylor emmène Elisabeth avec lui pour mener l'investigation. Sur place, ils découvrent que le personnel a été victime d'un virus très contagieux, provoquant une amnésie, qui s'aggrave à mesure que les heures passent... Lorsqu'à leur tour ils ne donnent plus signe de vie, Jim part avec Malcom à la recherche de sa femme...
Quatrième épisode, et l'encéphalogramme se fait encore plus plat. C'est incompréhensible: les scénaristiques enchaînent avec un second loner, ou comment se tirer une balle dans le pied. Il faut attendre la fin de l'épisode, pour voir quelques minutes qui renouent avec le fil conducteur amorcé dans le pilote (enfin la réapparition des Sixers !). Tout ce qui se passe avant ces dernières images est vraiment mauvais. Le coup du virus (ou par extension de la petite bête qui contamine), c'est un des plus gros clichés de ce type de série (X-Files, Fringe, pour ne citer que ce qui me vient en tête). Le problème c'est qu'on devine toute la trame de l'épisode à l'avance. C'est pénible. Du coup, ça traîne en longueur, on s'ennuie ferme, et on a le temps de prêter attention aux décors, horribles dans cet épisode (oh le bel avant-poste en carton-pâte !).
Bref, il va falloir que la série se ressaisisse rapidement, et visiblement, les spectateurs américains doivent penser la même chose lorsqu'on voit les producteurs sortir de leur trou, et annoncer que bientôt, il va se passer quelque chose, que la série va trouver son rythme. Une manière cachée de dire "restez les gars, la fête n'est pas encore commencée". Le problème, c'est que d'après ces mêmes producteurs, ce changement de cap est prévu pour la seconde moitié de la saison... En attendant, on risque de trouver le temps long. Si encore les personnages étaient attachants ! Mais non, au lieu de ça, on enchaîne les moments "grand public", avec les petites amourettes adolescentes de deux enfants de Jim... Arglll.
Pour finir, une bande-annonce malgré tout:
Pour finir, une bande-annonce malgré tout:
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